Décidément, nous esperions partir vers la Cappadoce rapidement mais nous n'arrivons pas à quitter Istanbul. En effet, nos colis contenant nos affaires chaudes et nos chariots de marche Carrix sont coincés à la douane ! Nous sommes passés avec frère Eleuthère au bureau de poste (à l'aéroport, c'est-à-dire à 25 km). Les postiers ont refusé de nous laisser les colis. La raison : nous ne sommes pas habilités à retirer des colis d'un tel montant, il faut envoyer un comptable avec une procuration ! En plus ils réclament des droits de douanes de l'ordre de 15-20% du montant déclaré soit près de 400€. Merci la Turquie et son administration. Il semble que pour les douanes, les étrangers européens soient une bonne manne financière !
Heureusement, frère Eleuthère se veut rassurant. Il va faire appel au comptable des franciscains et espère pouvoir débloquer la situation.
Mais les déboires de la journée ne sont pas finis : pour couronner le tout, nous passons en fin d'après midi dans un cyber-café pour faire une série d'archivage de photos. Après un 1er transfert, la carte mémoire de l'appareil photos attrape un virus qui la rend inutilisable. Nous sommes obligés de la formater et perdons en même temps toutes nos photos... Heureusement la plupart des photos étaient déjà archivées sur le smart phone mais nous perdons les films de septembre et octobre pris avec l'appareil et qui complétaient ceux de la Go pro...
En attendant que le problème des colis se règle, nous en profitons pour visiter Istanbul.
Rétrospective depuis mercredi 14 octobre avec les photos.
Nous sommes dans le quartier de Galatasaray, logeons dans l'ancien couvent de capucins donné à la France dans les années 50 et qui est devenu le palais de France. Un peu au dessus de chez nous, la rue Isticlal est très animée : des échoppes et magasins, un vieux tramway "trop classe" (expression favorite des enfants) et non loin de l'avenue, la tour Galata (reste de l'enceinte génoise du XIème siècle).
Le jeudi 15, nous partons à la découverte du Bosphore et goûtons les sandwiches aux maquereaux grillés vendus à côté du pont de Galata. Nous poussons jusqu'au souk égyptien avant de revenir. Solenn se fait offrir des pistaches.
L'après-midi, nous nettoyons les vélos que nous tenterons de vendre, sans succès, le lendemain.
Le samedi 17, après les devoirs des enfants et quelques courses, nous partons à la découverte du quartier de la mosquée Süleymaniye (Suliman le magnifique), superbe site qui surplombe le quartier de la corne d'or.
Visite de la mosquée Süleymaniye
Nous poursuivons jusqu'au grand bazar avant de rentrer.
18h30, la nuit tombe et la ville s'illumine
À Istanbul nous n'avons pas utilisé les vélos car les routes ne sont pas du tout adaptées et les gens préfèrent nous écraser plutôt que de ralentir! Nous avons aussi été dans un souk. Il y avait pleins d'épices étalés sur d'immenses étalages. Dans les rues nous avons vu pleins de vendeurs ambulants qui vendaient des marrons grillés, du maïs et des espèces de bretzels ronds briochés.
XAVIER
Moi j'ai bien aimé les souks il y a plein d'épices. C'est beau. Les petites théières et les petits verres à thé sont superbes ils sont pleins de couleurs. Nous avons aussi goûté le thé et les loukoums . J'aime aussi la vue sur la mer.
YANN
Le dimanche 18, nous participons à la messe en français. 1ere messe dans notre langue depuis fin juillet. L'accueil des paroissiens est chaleureux. Nous déjeunons avec Pierre qui travaille au sein de la paroisse. Pierre est un réfugié politique du Congo. Nous terminons la journée par une balade vers la place Taksim non loin du consulat de France.
Le lundi 29, Gwénolé attaque la matinée par le consulat où nous avons un contact pour y voir plus clair sur notre colis qui semble bloqué à la douane. Le consulat nous confirm4e que le colis est bien bloqué et qu'il faut se rendre au dépôt de poste près de l'aéroport pour le récupérer.
En attendant de s'y rendre le lendemain, nous marchons en remontant le Bosphore. Les vues sur la vielle ville et l'autre rive sont superbes mais les photos ont été perdues... Nous y retournerons certainement plus tard car les enfants sont très intéressés par le musée de la marine qui est dans ce quartier. Nous remontons ensuite vers la place Taksim à travers un jardin qui relie le Bosphore à la place.
Le jeudi 15, nous partons à la découverte du Bosphore et goûtons les sandwiches aux maquereaux grillés vendus à côté du pont de Galata. Nous poussons jusqu'au souk égyptien avant de revenir. Solenn se fait offrir des pistaches.
L'après-midi, nous nettoyons les vélos que nous tenterons de vendre, sans succès, le lendemain.
Galata vue depuis les quais de la vieille ville |
Nous dégustant le thé turc
Sur le pont Galata |
Nous préparons les vélos pour tenter de les vendre |
Ici le yaourt s'appelle Pinar ! |
Le samedi 17, après les devoirs des enfants et quelques courses, nous partons à la découverte du quartier de la mosquée Süleymaniye (Suliman le magnifique), superbe site qui surplombe le quartier de la corne d'or.
Nous nous baladons dans l'enchevêtrement de rues de notre quartier
Vue de la mosquée Süleymaniye |
Solenn apprend l'orthographe, c'est pas gagné ! |
Nous poursuivons jusqu'au grand bazar avant de rentrer.
18h30, la nuit tombe et la ville s'illumine
XAVIER
Moi j'ai bien aimé les souks il y a plein d'épices. C'est beau. Les petites théières et les petits verres à thé sont superbes ils sont pleins de couleurs. Nous avons aussi goûté le thé et les loukoums . J'aime aussi la vue sur la mer.
YANN
Le dimanche 18, nous participons à la messe en français. 1ere messe dans notre langue depuis fin juillet. L'accueil des paroissiens est chaleureux. Nous déjeunons avec Pierre qui travaille au sein de la paroisse. Pierre est un réfugié politique du Congo. Nous terminons la journée par une balade vers la place Taksim non loin du consulat de France.
Le lundi 29, Gwénolé attaque la matinée par le consulat où nous avons un contact pour y voir plus clair sur notre colis qui semble bloqué à la douane. Le consulat nous confirm4e que le colis est bien bloqué et qu'il faut se rendre au dépôt de poste près de l'aéroport pour le récupérer.
En attendant de s'y rendre le lendemain, nous marchons en remontant le Bosphore. Les vues sur la vielle ville et l'autre rive sont superbes mais les photos ont été perdues... Nous y retournerons certainement plus tard car les enfants sont très intéressés par le musée de la marine qui est dans ce quartier. Nous remontons ensuite vers la place Taksim à travers un jardin qui relie le Bosphore à la place.
La fin du periple approche :-) chapeau, vous tenez le bon bout, bon courage ;-) Cyril
RépondreSupprimerJ'espère à cette heure-ci que les fameux colis sont récupérés ? Bon courage. Bénédicte
RépondreSupprimerCa a l'air chouette Istambul, ça me donne envie d'y aller ;)
RépondreSupprimerPour la perte de photos, elles ne sont jamais vraiment perdues, à part s'il y a eu un formatage complet (et encore)
La solution : disk digger, gratuit le premier mois et super puissant pour récupérer ce qui est récupérable
Bonne route !!
Un article sur votre périple dans le numéro 41 de Carnets d'Aventures (septembre à décembre) !
RépondreSupprimerBonne route !
De tout coeur avec vous en espérant que la situation va se débloquer pour vos colis !
RépondreSupprimerIstambul nous rappelle notre voyage il y a plus d'un dizaine d'années. Bravo pour tout le chemin déjà parcouru. Ici c'est la mi temps des vacances de la toussaint. Nous avons gardé Anouk 6 ans (l'une des filles de Benoit et Laetitia) une partie de la semaine, et avons eu les enfants d'Emmanuel auxquels nous avons parlé de votre périple.
Amitiés cvx Catherine et Jean Louis